Admirateur et fin-connaisseur de l’oeuvre de Tchekhov (il lui a consacré un essai en 2002 intitulé Mon Tchekhov), Peter Stein, l’une des plus illustres figures de la mise en scène européenne, s’attelle à 3 courtes pièces du célèbre écrivain. Pour l’occasion, il compte célébrer la dimension farcesque des oeuvres tout en exaltant la richesse et l’extrême pertinence du réalisme psychologique qu’elles recèlent. A cet effet, Peter Stein, après Le Prix Martin d’Eugène Labiche, La dernière Bande de Samuel Beckett et le Tartuffe de Molière, a fait de nouveau appel à un monstre sacré de la scène, Jacques Weber.
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